Il y avait à la fin de ce livre toute la représentation de la fatalité, l'attente inexorable du besoin assouvi. Nous aurons, nous aurons, l'éternelle insatisfaction des êtres et l'impossibilité à la fusion sublime, une quête déchue à laquelle je m'agrippe incessamment. Le besoin de lutte réduit au néant. L'échec, qu'un jour, il y aura la sortie des corps, la dissolution du carcan pénible. Il nous faudra bien continuer les rêves pour fantasmer d'un autre monde. Nous serons pris. Il est 21h46.
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